Drapeaux aux fenêtres et aux devantures des magasins, maillots rouge et blanc en rupture de stock, Copenhague rêve de voir la bande à Kasper Schmeichel rééditer l’exploit du père Peter et de la « Danish Dynamite » qui avaient remporté l’Euro en 1992, après avoir remplacé au pied levé la Yougoslavie, frappée de sanctions internationales.

Sur les traces de Panenka?

Les Tchèques, eux, espèrent imiter la bande à Antonin Panenka sacrée en 1976 sous les couleurs de la Tchécoslovaquie. Depuis la partition avec la Slovaquie, la « Narodak » a joué de malchance, victime du 1er but en or de l’histoire en finale de l’Euro 1996 contre l’Allemagne, avant de tomber en demi-finale en 2004 face à un autre futur vainqueur inattendu, la Grèce.

Et si c’était son tour cette année de créer la surprise?

ats/tzing